Andrew R. Armentor
Je me rappelle être dans les derniers à sauter. L’avion devait être un Halifax ou un Stirling. C’était un saut par les flancs et non par le plancher.
Ce fut un saut à basse altitude car quand le parachute s’est ouvert et déployé, l’instant d’après j’ai atterri et perdu connaissance.
Je suis revenu à moi dans le village sous la protection d’un habitant. Je ne me rappelle pas son nom, mais je fus très bien traité et je suis reconnaissant pour sa générosité. Je pense qu’il était garde forestier.
Je fus séparé du groupe en Avignon et envoyé à Marseille.
Je peux vous dire que les français nous ont vraiment bien traités.
Andrew R. Armentor
Luisiana 13/11/04
Armentor fut blessé au dos lors de l’atterrissage dans une zone très accidentée.